Les idées reçues

Beaucoup d'histoires qu'on dit vraient mais qui ne sont que légendes

Aujourd'hui on commence par les piranhas

Est t-il vrai qu'ils sont capable de dévorer un homme en quelques secondes ?

http://idees-recues.blogs.liberation.fr/corrigees/2012/11/idee-recue-piranhas-devorent-un-homme-ou-une-vache-en-quelques-secondes.html

Encore une idée reçue qui tombe aux oubliettes.

Merci Varenge.

Ah pas mal, en effet j'aurais certainement parié le contraire.
J'aime beaucoup la petite BD illustrant l'idée reçue ;)

c'est vrai que nous avons plein d'idées reçues

merci

Les seigneurs médiévaux avaient-ils le droit de cuissage les veinards.


http://idees-recues.blogs.liberation.fr/corrigees/2012/12/idee-recue-seigneurs-medievaux-avaient-le-droit-de-cuissage.html

Le droit de cuissage, ou droit de jambage (et littéralement droit du seigneur ou droit de seigneur en anglais et néerlandais), est une prétendue coutume qui aurait permis à un seigneur d'avoir des relations sexuelles avec la femme d'un vassal ou d'un serf la première nuit de ses noces. Ce « droit » aurait été une déclinaison du droit de quitage, qui a réellement existé, qui obligeait un serf voulant marier sa fille en dehors du fief de son seigneur à payer au dit seigneur trois sous en échange de son autorisation symbolique du mariage1.
Ce droit de cuissage, avec le sens qu'on lui donne aujourd'hui, fut évoqué pour la première fois chez le jurisconsulte Jean Papon, qui aurait conféré aux seigneurs du Moyen Âge, soit le droit de passer une jambe nue dans le lit de la mariée, soit celui de consommer le mariage. Aux xviiie et xixe siècles, des écrivains et historiens comme Voltaire dans son Essai sur les mœurs2 ou Jules Michelet ont accrédité cette thèse.

"soit le droit de passer une jambe nue dans le lit de la mariée"

emeraude a écrit:

Le droit de cuissage, ou droit de jambage (et littéralement droit du seigneur ou droit de seigneur en anglais et néerlandais), est une prétendue coutume qui aurait permis à un seigneur d'avoir des relations sexuelles avec la femme d'un vassal ou d'un serf la première nuit de ses noces. Ce « droit » aurait été une déclinaison du droit de quitage, qui a réellement existé, qui obligeait un serf voulant marier sa fille en dehors du fief de son seigneur à payer au dit seigneur trois sous en échange de son autorisation symbolique du mariage1.
Ce droit de cuissage, avec le sens qu'on lui donne aujourd'hui, fut évoqué pour la première fois chez le jurisconsulte Jean Papon, qui aurait conféré aux seigneurs du Moyen Âge, soit le droit de passer une jambe nue dans le lit de la mariée, soit celui de consommer le mariage. Aux xviiie et xixe siècles, des écrivains et historiens comme Voltaire dans son Essai sur les mœurs2 ou Jules Michelet ont accrédité cette thèse.

Merci pour ces précisions:
Mais vous savez, ce fameux droit de cuissage existe encore aujourd'hui... Sous une forme simplement plus subtile!!!
Il suffit, en effet, d’être très riche, pervers, et très vicieux, pour le faire valoir... Sans que personne ne s'en offusque... Comme personne ne s'en offusquait au Moyen age, où on trouvait ça tout naturel!!!
... Il en est de même aujourd'hui:
Tout le monde trouve ça tout naturel!!! Et généralement, quand les femmes le voient, (bien "explicitement, bien que ce soit "sous-entendu"!!!), dans les feuilletons à l'eau de rose débiles, et complètement stupides, tels que "les feux de l'amour, Dallas, amour-gloire et beauté, etc., etc."... Elles regrettent de ne pas etre à la place de cette belle jeune femme qui accepte, sans vergogne, de se "salir" pour le monceau d'argent que lui propose un vieux cochon tout cousu d'or!!!
... Il n'y a rien de nouveau sous le soleil!!! Simplement... Les mêmes choses s'appellent différemment; c'est tout!"